ADSL sur les LAURONS suite
Voici le courrier envoyé à
M le MAIRE DE MARTIGUES
Les LAURONS, le 20 juin 2007
Objet : ADSL sur les LAURONS
Monsieur le Maire,
Nous vous remercions de votre courrier d’ Avril 2007, où vous nous assurez que vous mettez tout en œuvre pour appuyer notre demande de bénéficier de l’ADSL dans notre quartier.
Nous sommes bien sûr très conscients, ainsi que vous le rappelez, que France Télécom est désormais une entreprise privée dont le but essentiel est de faire des profits, et nous le déplorons. Nous n’avons pas été à vos côtés dans la lutte pour le maintien des services publics, car ce n’est pas la vocation de notre association que d’apparaître en tant que telle dans des manifestations politiques, soyez cependant assuré que nous avons été nombreux à vous soutenir individuellement.
Nous constatons que notre réclamation, aussi légitime qu’elle paraisse, se heurte cependant à on ne sait trop quels obstacles. Malgré nos efforts, et nos demandes répétées, aucune de nos démarches n’a abouti, et nous n’avons obtenu que des réponses confuses et contradictoires.
Or, la population de notre quartier augmente, et elle est de plus en plus jeune. Pour elle, l’ADSL est devenu un outil indispensable, que ce soit pour le travail ou pour les études.
Nous avons appris, par M. Cambessedes que des négociations sont en cours, entre la mairie, représentée par M. Serboni et France Telecom. Nous sommes étonnés de n’y avoir pas été conviés, ou tout au moins de n’avoir pas été tenus au courant des dates, du contenu, des résultats.
Nous avons la désagréable impression – ce ne peut être qu’une impression, puisque nous n’arrivons jamais à savoir quels sont les réels blocages – que nous sommes sacrifiés pour des raisons financières. Et, citoyens de Martigues, nous comprenons difficilement qu’il nous soit impossible de bénéficier des mêmes moyens que nos concitoyens.
En espérant que cette situation trouvera rapidement une conclusion positive qui mettra fin à ce que les habitants de notre quartier ressentent comme une injustice, nous vous prions, M. le Maire, d’agréer l’expression de nos sentiments respectueux.
Pour le bureau du C.IQ.
La présidente,
Liliane PATRIS
13117Lavéra